Nous voulons les émotions (...).
Si les impressions étaient reçues de la même façon que l'air est reçu par les poumons, il n'y aurait jamais de souffrance, ni de "grande joie" non plus. Seul régnerait l'état non troublé, la paix intérieure. Sans aller jusque là, ne pourrions-nous recevoir ce qui vient à nous, dans une attitude d'ouverture, où chaque objet, chaque élément vital, humain, végétal, animal, serait accueilli comme le don unique, précieux dans sa diversité, que nous offre constamment l'univers?"
Denise Desjardins, La Mémoire des vies antérieures, p.68
Bénin, marché aux oignons |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire